Passionnée par les Jeux olympiques, jusqu’au bout des ongles! | Olympiques Paris 2024

Quand on entre dans la maison de Mélanie Boudreau, à Quispamsis au Nouveau-Brunswick, c’est comme si la porte d’un musée s’ouvrait à nous.

Des drapeaux olympiques, l’unifolié, des affichettes, des épinglettes, des sacs, des gilets… les décorations ne manquent pas.

Ben, ça met de l’ambiance!, dit notre hôtesse, qui est enseignante et femme d’affaires. Ce n’est pas juste devant la télé que ça se passe!

Même ses ongles affichent son amour pour les Jeux.

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Pour elle, c’est l’event de célébrer les sports activities et les athlètes, été comme hiver.

Ça se passe dans tout ce qui entoure les Jeux, tu le vois constamment. Tu vois les pictures, tu te rappelles des événements. Puis ça met une belle ambiance quand il y a des gens qui viennent aussi.

En fait, Mélanie Boudreau ajoute qu’elle décore plus sa maison pendant les Jeux que lors du temps des Fêtes.

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Son intérêt prononcé pour l’olympisme remonte à 1992, lorsqu’elle a vu Sylvie Fréchette à Barcelone. Puis, avec les Jeux de 1994 à Lillehammer, en Norvège, Mélanie Boudreau s’est mise à suivre les hauts et les bas des athlètes avec assiduité.

Pourquoi?

Je ne sais pas si j’ai une réponse, avoue-t-elle. Mais ça half de l’enfance, ça half d’écouter ça en famille. Puis avec le temps, tu développes un intérêt. Tu viens à connaître les athlètes, les sports activities.

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Son amour de l’olympisme est tellement grand qu’en 2018, à la veille des Jeux de Pyeongchang, elle avait organisé une multitude d’activités connexes à son école, le Centre scolaire Samuel-de-Champlain, dont une cérémonie d’ouverture mettant en vedette tous les élèves.

Des conseils humoristiques

Cette année, Madame Boudreau a publié des vidéos sur les médias sociaux, pour partager sa ardour des Jeux.

Avec humour, elle donne des conseils sur la bonne façon de suivre l’événement.

Ce n’est pas tout le monde qui sait remark faire!, lance-t-elle en riant. Les gens ne sont pas au courant que ça dure pendant deux semaines, à quelle heure ça se passe.

Elle définit les supporteurs en quatre catégories: débutants, intermédiaires, professionnels et anti-olympiques.

Ce sont les personnes qui se demandent ce que sont les Olympiques, dit-elle dans un autre éclat de rire.

Elle essaye de réconcilier tout le monde pour que la quinzaine olympique se déroule bien.

Par exemple, elle suggère fortement de ne pas prendre de rendez-vous du 26 juillet au 11 août. La coupe de cheveux devra attendre!

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Dans ses capsules, sur un ton bon enfant, il est query d’alimentation (il faut concocter des mets à l’avance), de sommeil (se pratiquer à se coucher tôt pour se lever très tôt) et de vie sociale (il faut éviter toutes les invites).

Le reste des gens, dans mon entourage, est au courant que je ne suis pas très disponible durant ces temps, dit Mélanie Boudreau.

Elle n’a jamais vu des compétitions olympiques en personne. Son rêve serait d’assister à des épreuves à Brisbane, en Australie, en 2032.

Savoir vivre les émotions

Depuis qu’elle swimsuit les exploits des athlètes, Mélanie Boudreau se souvient d’avoir vécu beaucoup d’émotions fortes.

La médaille d’or de Simon Whitfield, au triathlon en 2000 à Sydney, est un second fort. Le Britanno-Colombien traînait de l’arrière après les deux premières épreuves.

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Il a remporté la médaille d’or, se rappelle Mélanie. Moi, je ne le connaissais pas avant la course. Puis, à la toute fin, je sautais au plafond, les larmes aux yeux. C’était comme Go Simon!

Ah oui! Oui, oui! Les larmes peuvent monter aux yeux, tu peux avoir les larmes aux yeux pour une personne que tu ne connais pas beaucoup. Il faut se préparer à toutes ces éventualités.

Mélanie Boudreau se prépare à vivre les Jeux. Sa télévision est programmée à Radio-Canada, elle a les purposes de tou.television (Nouvelle fenêtre) et de Radio-Canada Sports activities sur son téléphone et sa tablette.

Elle a maintenant hâte de voir quel athlète lui fera vivre d’autres émotions.