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La revanche d’Arber Xhekaj a enflammé le Centre Bell

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La revanche d

Moins de 24 heures après une humiliation contre les Maple Leafs, où Arber Xhekaj avait été pointé du doigt pour avoir réveillé l’adversaire avec un geste smug, le robuste défenseur du Canadien de Montréal a offert une réponse éclatante face aux Rangers de New York.

Ce qui ressemblait à un coup dur pour l’équipe est rapidement devenu une supply de motivation et de braveness.

Dimanche soir, Xhekaj a prouvé que sa présence physique pouvait transformer un match, galvaniser ses coéquipiers et, ultimement, conduire à la victoire.

Dès le début de la deuxième période, un affrontement qui restera gravé dans la mémoire des partisans a eu lieu entre Xhekaj et Matt Rempe, un géant qui fait peur à absolument tout le monde dans la LNH.

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Ce fight de poids lourds, initié après plusieurs invites du défenseur montréalais, a déclenché une onde de choc sur le banc du Canadien.

Juraj Slafkovsky, visiblement euphorique, n’a pas caché son enthousiasme : 

« Je sautais, je frappais la bande, j’étais tellement survolté, ça nous a donné un élan et c’est vital pour nous quand un joueur comme Arber fait ça. »

Le Centre Bell était aussi enflammé que le Slovaque. 

Dans un sport de plus en plus axé sur la vitesse et les habiletés, la pertinence des bagarres est souvent remise en query.

Pourtant, le duel entre Xhekaj et Rempe a rappelé qu’un fight peut encore soulever une équipe, générer une étincelle et redéfinir l’difficulty d’un match.

Slafkovsky a été droit au however pour décrire l’impression de ce duel physique : 

« Quel fight ! Il l’a gagné deux fois, il l’a assommé et c’est impressionnant que Rempe soit revenu après avoir été sur le level de tomber. Si ça avait été moi, je me serais endormi. »

Xhekaj, fidèle à son type discret mais efficace, a expliqué son intention derrière cette altercation : 

« C’est ce que je préfère quand les gars se lèvent et qu’ils tapent les bâtons, de voir leur reconnaissance, je le fais pour eux et pour cette équipe.

J’ai généré une étincelle et j’avais commis un revirement coûteux en première période et je voulais me reprendre. »

Son geste a non seulement permis de redonner confiance à ses coéquipiers, mais il a aussi donné un avantage au Tricolore. L’arbitre a jugé que Rempe avait initié le fight, offrant au Canadien un avantage numérique essential.

Martin St-Louis, satisfait de la tournure des événements, s’est amusé en déclarant : 

« C’est quand la dernière fois que Xhekaj s’est battu et que l’autre équipe a eu un deux minutes de plus ? Je ne pense pas que c’est arrivé encore. Il affiche de la maturité et il amène un élément vital à notre équipe. »

Ce duel contre les Rangers est survenu à un second critique pour Xhekaj, qui devait se racheter après sa efficiency controversée contre les Leafs.

Samedi soir, alors que Montréal menait 3-0, il avait nargué Ryan Reaves avec un cri de victoire prématuré, ravivant les Maple Leafs et les motivant à revenir de l’arrière pour s’imposer 5-3.

Cette défaite avait laissé un goût amer dans la bouche des partisans et des joueurs, mais Xhekaj a rapidement tourné la web page et a trouvé un moyen de transformer la critique en moteur de motivation.

Son engagement physique contre Rempe a servi d’électrochoc pour l’équipe, qui a ensuite joué avec intensité et self-discipline.

En troisième période, le Canadien a totalement dominé les Rangers, tirant 16 fois au filet contre seulement 6 pour leurs adversaires, démontrant une drive de caractère impressionnante.

Cette fois, pas de retour inconceivable pour l’équipe hostile, seulement un CH déterminé à aller chercher la victoire.

Le management de Xhekaj, souvent sous-estimé, a été pleinement reconnu par ses coéquipiers après le match. Ce n’est pas uniquement son poing qui a parlé, mais son désir de racheter ses erreurs et de remettre son équipe sur la bonne voie.

Sa capacité à reconnaître qu’il avait fait un revirement coûteux en première période et sa volonté de rectifier la state of affairs témoignent d’une maturité en pleine croissance.

L’impression du fight a été ressenti jusque dans les gradins. Les partisans, d’abord inquiets après le revers à Toronto, ont vu en Xhekaj un joueur prêt à tout pour l’équipe, et les applaudissements nourris qui ont suivi son fight l’ont bien prouvé.

Même les vétérans du vestiaire ont souligné l’significance de ce second, démontrant que le hockey, malgré ses évolutions, reste un sport où l’émotion et la ardour ont un rôle essential.

Au-delà de l’impression de Xhekaj, un autre joueur a marqué cette victoire : le gardien Jakub Dobes. Le jeune cerbère tchèque a signé une cinquième victoire en autant de matchs dans la LNH, offrant à son père, présent pour la première fois en un an et demi, un memento inoubliable.

Malgré quelques moments difficiles, Dobes a été impérial en prolongation, réalisant deux arrêts spectaculaires qui ont permis au Canadien de l’emporter.

« Mon père est ici et je ne l’avais pas vu depuis près d’un an et demi. Il a eu un gros impression sur ma carrière alors je voulais juste bien jouer. Tout n’a pas été parfait pour moi, mais je vais pouvoir célébrer avec lui. », a confié Dobes, soulignant l’significance de ce second personnel.

La victoire contre les Rangers est d’autant plus significative qu’elle évite au Canadien de subir deux défaites consécutives pour la première fois depuis la mi-décembre.

L’équipe a su rebondir après un revers difficile, prouvant sa maturité émotionnelle et sa capacité à tourner la web page rapidement.

Martin St-Louis a d’ailleurs souligné cet facet essential : 

« J’ai adoré notre troisième période. Ils menaient sur le tableau, mais je ne trouve pas qu’ils nous battaient. On a eu la maturité pour aller chercher le however égalisateur et c’est un level dont on avait besoin. »

Arber Xhekaj a prouvé qu’il savait répondre aux critiques de la meilleure façon potential : par l’motion. Ce qui semblait être un week-end à oublier pour lui s’est transformé en une event de prouver son significance au sein du Canadien.

Sa capacité à rallier ses coéquipiers, à redonner un second souffle à son équipe et à répondre présent dans les moments clés démontre qu’il est bien plus qu’un easy bagarreur.

Certes, les critiques des bagarres dans le hockey resteront toujours d’actualité, mais le match contre les Rangers prouve qu’une bagarre bien placée peut encore changer l’difficulty d’un match.

Xhekaj l’a compris et, en agissant au bon second, a redonné au Canadien une victoire aussi précieuse qu’inspirante.

Moins de 24 heures après avoir été crucifié sur les réseaux sociaux pour avoir réveillé les Maple Leafs avec son conceitedness, Arber Xhekaj a bien dormi hier soir.

Le cauchemar de samedi soir est bien loin.

Alors que le Canadien menait 3-0 face aux Leafs, Xhekaj avait livré une percutante mise en échec sur Ryan Reaves avant de le narguer bruyamment, lançant un cri strident – « WAHOUUUHHH ! » – qui a réveillé le banc hostile et conduit à un effondrement complet de son équipe.

Résultat : un retour cauchemardesque de Toronto, cinq buts sans réplique, et une avalanche de critiques sur les réseaux sociaux.

Les partisans montréalais avaient été cinglants. Sur les réseaux sociaux, plusieurs lui avaient reproché son geste immature, soulignant qu’il avait été la raison de la débâcle du Tricolore.

Des commentaires sans pitié lui reprochaient de ne pas avoir assumé son rôle en refusant de se battre contre Reaves après l’avoir pourtant traité de peureux la saison dernière.

Son cri, qui devait être un symbole de domination, s’est retourné contre lui et son équipe, laissant Xhekaj en bouc émissaire tout désigné.

Mais dimanche soir, dans un Centre Bell survolté, Xhekaj a repris le contrôle de sa réputation. Cette fois, il a enflammé l’amphithéâtre au grand complet, démontrant qu’il peut être bien plus qu’un agitateur impulsif.

Face aux Rangers, Xhekaj a choisi de canaliser son énergie de manière plus constructive. Dès le début de la deuxième période, il a lancé des invites répétées à Matt Rempe, un autre colosse de la LNH.

Cette fois, au lieu de répondre à la provocation par un cri, il a laissé ses poings parler. Le fight, d’une intensité uncommon, a instantanément électrisé le Centre Bell et surtout, redonné confiance au Tricolore.

Contrairement à la veille, où son cri moqueur avait provoqué un retour fracassant des Maple Leafs, Xhekaj a su mieux gérer son énergie et offrir un second inspirant à ses coéquipiers.

Son affrontement face à Rempe n’était pas une easy démonstration de drive, mais une déclaration de solidarité envers son équipe.

Et cette fois, c’est le Canadien qui a surfé sur cette imprecise d’énergie. Montréal a dominé la troisième période avec 16 tirs au however contre seulement 6 pour les Rangers, prenant le contrôle du jeu grâce à une intensité renouvelée.

Après la défaite contre les Leafs, les réseaux sociaux avaient été impitoyables envers Xhekaj. Plusieurs l’avaient qualifié d’irresponsable, soulignant qu’il était la principale raison de l’effondrement de l’équipe.

On lui reprochait son immaturité, son incapacité à gérer les moments clés et son refus d’affronter Reaves après l’avoir provoqué tout au lengthy de la saison précédente.

Mais cette fois, Xhekaj a répondu de la meilleure des manières. Il n’a pas cherché à attirer l’consideration sur lui par des gestes inutiles, mais a plutôt utilisé son rôle d’homme fort pour donner un élan essential à son équipe.

Arber Xhekaj est passé de zéro à héros en moins de 24 heures.

Le hockey est un sport de rédemption, et Xhekaj en est la preuve vivante.

AMEN.

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